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Overdose à Paris : Trois jeunes hommes, dont un attaché parlementaire, retrouvés samedi matin, dans un état critique en plein rue après avoir consommé du GHB lors d’une soirée “chemsex

Écrit par sur mai 25, 2025

Trois overdoses dont une avec pronostic vital engagé, ont été recensées en une nuit à Paris, toutes sortant du même bar et ces jeunes hommes ont été retrouvés dans la rue au petit matin selon les informations du Parisien.  Les trois victimes, parmi lesquelles un attaché parlementaire, sortaient au petit matin samedi, d’un même bar du XIe arrondissement.

La première victime a été transportée en état d’urgence absolue, avec son pronostic vital engagé, vers l’hôpital Lariboisière (Xe). Le second est évacué, conscient, vers l’hôpital Saint-Antoine (XIIe).

Un troisième jeune homme est signalé un peu plus tard, sur la voie publique, sortant lui aussi du même bar. C’est ce troisième homme qui, selon Le Parisien, serait un jeune attaché parlementaire. Son identité, ni le nom du député pour lequel il travaille n’ont pas été révélés dans l’immédiat. Pris en charge par les secours, il a été conduit lui aussi vers l’hôpital Saint-Antoine. 

A noter que la veille, un autre jeune homme avait également été retrouvé dans Le Marais, dans les mêmes circonstances et victime d’une overdose. 

Ils pourraient tous avoir consommé du GHB, une drogue prisée par les amateurs de chemsex, souvent associée à d’autres drogues de synthèse ou à l’alcool. Son usage est interdit, en consommer est puni d’amendes jusqu’à 3.750 € et jusqu’à 1 an de prison.

Cette substance, connue pour ses effets sédatifs et euphorisants, est souvent utilisée dans des contextes festifs, mais aussi dans des pratiques de chemsex, où elle est combinée à d’autres substances comme la 3-MMC ou l’alcool. Inodore et incolore, le GHB est particulièrement dangereux, car une surdose peut survenir rapidement, entraînant une perte de conscience, voire un coma.

Selon les autorités, la consommation de cette drogue serait en hausse à Paris, alimentant une vague d’incidents graves.

Dans les cas récents, les victimes auraient consommé ce produit dans un cadre de chemsex, une pratique où les drogues sont utilisées pour intensifier les expériences sexuelles. Ce phénomène, bien que discret, gagne du terrain dans certaines sphères de la vie nocturne parisienne


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