Actu France - Monde

Le député Adrien Quatennens annonce qu’il se met en retrait de la France Insoumise, après qu’une main courante ait été déposée par son épouse suite à une dispute – Voici son communiqué intégral dans lequel il s’explique

Le député Adrien Quatennens annonce qu’il se met en retrait de la France Insoumise, après qu’une main courante ait été déposée par son épouse suite à une dispute. Adrien Quatennens publie ce communiqué cinq jours après la publication par le Canard enchaîné d’une main courante par l’épouse du numéro 2 de LFI après “une dispute”. Dans cette lettre, le député réélu en juin dernier revient en longueur sur cette séparation, dont “il souffre” et qui a occasionné plusieurs épisodes de violence au sein du couple.

L’affaire aurait éclaté au retour de vacances du couple Quatennens, le 29 août. Alors qu’elle lui annonçait son intention de vouloir divorcer, Céline Quatennens aurait été la cible d’un accès de violences de la part de son époux.

Le 7 septembre, lors du dépôt de sa main courante au commissariat central de Lille, elle a également évoqué d’autres faits précis notamment un épisode survenu le 2 septembre, soit cinq jours plus tôt, ainsi que d’autres événements antérieurs impliquant le député de la France Insoumise et successeur potentiel de Jean-Luc Mélenchon, précise BFM.

Avant même la publication de l’article et de ces dernières informations, le couple a indiqué être en «situation de divorce difficile» exigeant dans un communiqué commun à le «respect» de leur «vie privée», qu’ils souhaitent «protéger» afin de «retrouver le chemin de l’apaisement».

Dans ce court texte, il est précisé que «Céline Quatennens a déposé une main courante en précisant aux policiers qu’elle ne souhaitait ni porter plainte, ni qu’il y ait de suites judiciaires à cette main courante et qu’elle exigeait que les informations ne se retrouvent pas dans la presse». Les époux affirment avoir appris «par voie d’avocats» que la main courante «avait fuité immédiatement jusque dans les salles de rédaction contre l’avis de Madame Quatennens».